Réduits à leurs instincts grégaires, les personnages illustrent parfaitement le concept développé par Spencer : Struggle for life. Ils sont dans un état de survie. Ce ne sont donc pas des parasites au sens social du terme (parasites de la société), mais des individus qui se parasitent les uns les autres.

Influencé par l’écriture cinématographique, Mayenburg écrit des scènes courtes, qui se passent souvent simultanément dans différents lieux.
La construction du texte s’apparente également (au sens propre) au sitcom : comédie de situation, où les personnages sont « croqués » à travers de brefs moments de la vie quotidienne.

La pièce se compose essentiellement de scènes écrites pour deux personnages. Chaque membre du quatuor (deux jeunes couples) a ses monologues, à la fois temps de confession et d’imagination, avec d’incroyables fulgurances poétiques.