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Dernières critiques
journal Ventilo
dimanche 29 mars 2020
Par Nadja Grenier
Elle l’aime, elle l’adore, c’est fou comme elle l’aime. Elle, c’est une jeune femme dynamique, sourire écrasant, répondant au titre de « manager d’autrui à manager ». Elle, droite comme un caporal, prête à vendre le moindre petit bout de son énergie au profit de la vitalité de son amour d’entreprise. Les termes techniques des tâches à accomplir sont débités comme un programme d’activités pseudo festives d’un club de vacances.
Zibeline
mercredi 10 avril 2019
Par Chris Bourgue
« Une mélopée poétique d’une grande intensité qui mêle l’innocence de l’enfance au trouble de la maturité... superbement interprétée par Stéphanie Rongeot, à l’énigmatique sourire de Joconde »...
Zibeline
vendredi 18 janvier 2019
Par Chris Bourgue
Lamento de Livia se donne dans le cadre d’un bistrot dont vous êtes les clients. Une femme brisée vous apostrophe et réclame sa part. Sa plainte monte comme un chant sourd. Ses souvenirs affleurent en même temps que le manque. Elle boit. Pour oublier sa solitude. Le texte s’écoule simplement avec une vérité crue, qui ne juge pas, laisse sourdre l’émotion. Un très beau portrait de femme blessée, merveilleusement interprété par Lucile Jourdan......
Journal La Terrasse.fr
vendredi 22 juin 2018
Portrait de femme sous emprise
Par Marie-Emmanuelle Dulous de Méritens
La pièce en forme de monologue, d’adresse directe au public, narre l’histoire de Livia, l’italienne. Elle se noie. Dans l’alcool. Seule en scène, la comédienne et metteure en scène Lucile Jourdan, à l’initiative de cette commande de portrait de femme sous emprise, donne corps et voix à cette femme broyée....
lundi 08 décembre 2014
Par Agnés Freschel
Lucile Jourdan a choisi de mettre à distance ces douleurs en tirant le conte vers un irréalisme du jeu et des costumes, des lumières. Les masques sublimes, les transparences du décor, fabriquent de très belles images, effrayantes pourtant, mais rendues supportables. Car ici pas de méchant, pas d’innocent : si les loups mangent c’est pour ne pas mourir....
Dauphiné Libéré
dimanche 09 juin 2013
Par Clémence Léna
Artiste et professeur de droit. « Chef d’entreprise » et « marxiste ». Michel Belletante multiplie les paradoxes. Parle sans tabou, aligne les ......
le progrès
vendredi 31 mai 2013
« Lorenzaccio » ou la violence d’un romantique sur la scène du théâtre
Par Josette besset-Pochiola
Jeudi, au théâtre, le metteur en scène de Théâtre et Cie, Michel Bellante, a replanté le décor de « Lorenzaccio ». « Une pièce que Musset a écrite ......
Dauphiné Libéré
vendredi 24 mai 2013
Un Lorenzaccio moderne et détonant…
Par Karine Bergeron
L’action se passe à Florence. Lorenzo de medicis se voue à la restauration de la République. Tâche difficile : son lointain cousin, le duc Alexandre ......
La tribune / Le Progrès
jeudi 11 avril 2013
Lorenzaccio l’idéal romantique version trash
Par Anabel Plence
« Lorenzaccio », interprété par les treize comédiens et musiciens de Théâtre et Compagnie a été accueilli par des salves d’applaudissements. A 14 ......
jeudi 14 mars 2013
Par Trina Mounier
Le mélange des genres est à la mode. Parfois au risque de la confusion. En recourant à la musique rock en direct, en multipliant les effets sonores et lumineux, en osant les néologismes les plus improbables, sinon audacieux, Michel Belletante signe une version de « Lorenzaccio » certes détonante, mais surtout peu lisible...