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Dernières critiques
Les Soirées de Paris
mercredi 01 décembre 2021
La cinglante leçon d’histoire de Tony Kushner
Par Isabelle Fauvel
Dans sa pièce culte “Angels in America” (1992), située à New York en 1985, Tony Kushner revenait sur les années Reagan. Le Parti républicain était au pouvoir et le sida, punition divine infligée aux gays selon l’Amérique puritaine, faisait son apparition, décimant à tout va. Même les anges semblaient impuissants à aider les hommes…...
Un Fauteuil pour l'orchestre
vendredi 26 novembre 2021
Hitler, Reagan, Trump. Comment en arrive-t-on à ça ?
Par Denis Sanglard
Hitler, Reagan, Trump. Comment en arrive-t-on à ça ? Peintre raté, acteur raté, entrepreneur véreux comment nos démocraties ont-elles pu installer au pouvoir ces trois-là ? Nazisme, crypto-fascisme, montée des nationalismes, de glissement en glissement, c’est une sournoise et implacable mécanique où l’aveuglement le dispute à la compromission. Première pièce de Tony Kushner A bright room called day, étrange titre à vrai dire, qui ne fut pas un su...
Sceneweb
vendredi 10 janvier 2020
Le millefeuille historique de Tony Kushner
Par Stéphane Capron
Pour sa nouvelle création au TnBA, Catherine Marnas frappe un grand coup en présentant A bright room called day…Une chambre claire nommée jour, la première pièce de l’américain Tony Kushner. L’auteur vient de la remanier en y introduisant des éléments d’actualité sur l’Amérique de Donald Trump pour en faire une saga historique glaçante sur la ......
Les carnets d'Eimelle
dimanche 11 novembre 2018
Quel regard Pasolini porterait-il sur le monde d'aujourd'hui?
Par Eimelle Laure
Sa pensée est-elle devenue ringarde ou toujours brûlante d'actualité?
belzefa.hilux
dimanche 21 octobre 2018
La nostalgie du futur, oh que oui.
Par belzefa
L’entrelacement du cinéma et du théâtre peut être intéressant et réussi {...}Mais dans La nostalgie du futur, on a le sentiment que ce sont des morceaux juxtaposés les uns aux autres que Catherine Marnas voulaient absolument nous exposer, mais sans réel lien....
Sceneweb
vendredi 19 octobre 2018
Par Stéphane Capron
Catherine Marnas voue une passion pour Pasolini. Avec le philosophe Guillaume le Blanc, elle sonde l’âme du poète italien et restaure sa pensée politique toujours d’actualité. La Nostalgie du futur créée au TnBA est un spectacle remuant....
Inferno
lundi 15 octobre 2018
« La Nostalgie du Futur » Pasolini, encore et toujours…
Par Yves Kafka
Il est parfois des voix qui continuent à hanter votre existence bien au-delà de leur extinction physique. Celle de Pier Paolo Pasolini est de celles-ci, elle qui accompagne depuis toujours la metteure en scène et directrice du TnBA, un peu comme son « Jiminy Cricket ». Sauf que le fictif grillon s’est mué en corbeau – à la fois bonne et mauvaise conscience – métaphore du spectre du cinéaste, écrivain, poète, journaliste, italien assassiné mystérieusement près de Rome au mitan des années 70. Quant au titre choisi
Club de Mediapart
dimanche 14 octobre 2018
Le Cap, Hebron et Pasolini, en trois lettres : FAB
Par Jean-Pierre Thibaudat
Festival de la métropole de Bordeaux, FAB présente une programmation régionale et internationale. Catherine Marnas y inscrit le Centre dramatique avec « La Nostalgie de l’avenir » autour de Pasolini, titre qui pourrait convenir à la troupe sud-africaine du Baxter Theatre Centre et au nouveau spectacle de Winter family....
hottello
samedi 13 octobre 2018
"La Nostalgie du futur", affronter le fascisme de la normalité
Par Véronique Hotte
« L’Italie est en train de pourrir dans un bien-être qui est égoïsme, stupidité, inculture, médisance, moralisme, répression, conformisme, se laisser aller de quelque façon que ce soit à encourager ce pourrissement, c’est la forme que prend le fascisme aujourd’hui », constate Pasolini dans Dialogues (1962)....
philomag.com
vendredi 12 octobre 2018
Par Cédric Enjalbert
Que dit Pasolini de notre époque ? Le philosophe Guillaume Le Blanc et la metteuse en scène Catherine Marnas s’associent pour mettre les textes du cinéaste à l’épreuve du temps présent dans “La Nostalgie du futur”, qui pèche par manque de dialogues....