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Dernières critiques
Sceneweb
jeudi 10 novembre 2022
Un spectacle crépusculaire où les paillettes de la fête côtoient la noirceur du réel
Par Marie Plantin
Nous n'avons pas vu la nuit tomber saisit les dernières lueurs d'une constellation formée par Jesse, Baba, James, Paul, Christopher et le Type du métro pendant quatre nuits urbaines à la fin de l'année 1999. Ils sont les enfants sucrés et paumés de la fin du siècle dernier....
L'Œil d'Olivier
mercredi 09 novembre 2022
Par Olivier Frégaville-Gratian d’Amore
Au CDN de Tours, Camille Dagen, Eddy D’aranjo et Emma Depoid mettent en commun leur savoir-faire pour offrir à la troupe un objet théâtral kaléidoscopique....
Club de Mediapart
mardi 25 septembre 2018
« La place du chien » de Marine Bachelot Nguyen, une écriture mordante
Par Dashiell Donello
Lansman Éditeur présente la dernière pièce de Marine Bachelot Nguyen, « La place du chien ». L’auteure et metteure en scène pose la question de la place des uns et des autres dans la société, à travers un trio qui pourrait faire penser à une comédie de boulevard. Mais ne nous trompons pas, l'angle métaphorique des questions, particulièrement sensibles aujourd'hui, est vite posé....
Club de Mediapart
mardi 25 septembre 2018
« La place du chien » une écriture mordante
Par Dashiell Donello
Marine Bachelot Nguyen pose la question de la place des uns et des autres dans la société, à travers un trio qui pourrait faire penser à une comédie de boulevard. Mais ne nous trompons pas, l'angle métaphorique des questions, particulièrement sensibles aujourd'hui, est vite posé....
Théâtre Actu
dimanche 16 juillet 2017
Par Ondine Bérenger
Ne vous y trompez pas : malgré son sous-titre de « sitcom canin et postcolonial », cette pièce signée Marie Bachelot Nguyen est loin d’être si légère qu’elle n’y paraît...
Frictions
jeudi 13 juillet 2017
Par Jean-Pierre Han
La Place du chien de Marine Bachelot Nguyen porte un sous-titre intrigant et pour tout dire plutôt alléchant : Sitcom canin et post-colonial !...
Le Clou dans la planche
mardi 12 avril 2016
Par Manon Ona
Dans ce format supposé plus dense, la réplétion formelle passe vite pour une tentative de séduction tape-à-l'œil, celle d'un théâtre aux airs de blockbuster, qui redoute d'ennuyer....
Les Trois Coups
vendredi 22 janvier 2016
Par Léna Martinelli
Thomas Jolly, la nouvelle coqueluche du théâtre, n’a pas fini de faire parler de lui ! Après son entrée fracassante, par la grande porte, avec « Henri VI », le voilà programmé à l’Odéon où il met en scène un « Richard III » dont il incarne lui-même le rôle-titre. Bluffant !...
L'Express - Blog
vendredi 22 janvier 2016
Par Laurence Liban
Richard III... Sa description seule ferait mourir de peur n'importe quel Quasimodo. Tordu, bossu, desséché, dératé, dentu à la naissance, bancal, pas voulu, pas aimé, pas aimable, pas fini. Expulsé avant terme comme une huître avariée et pire que ça....
Au poulallier
lundi 18 janvier 2016
Richard III en post-ado morbide
Par David Larre
Épilogue de son marathon shakespearien autour de la Guerre des Roses, Richard III offre à Thomas Jolly l’occasion de prolonger une geste artistique un rien mégalo, se distribuant le rôle-titre, et orchestrant dans un ballet glam-goth (qui doit autant à Star Wars qu’à Tim Burton ou à David Bowie) les règlements de compte fourbes et sanglants qui vont aboutir à la mise à mort du « lévrier de l’enfer ». La furia gothique ne manque pas de panache,...