« Extra life », le nouveau spectacle de l’artiste inclassable Gisèle Vienne est une impressionnante symphonie de lumières, de sons, de musique et de corps où les mots ne parviennent pas à trouver leu…...

Dans un spectacle sculpté au laser, Gisèle Vienne met le trauma en miettes au point de brouiller nos perceptions....

La découverte des Australiens du collectif Back To Back Theatre et “Extra Life”, la dernière création de Gisèle Vienne, bousculent, pour le meilleur, notre rapport à la créativité dans le spectacle vivant....

Sadisme, dissociation, mise à mort physique ou psychique : avec une allergie sévère à l’éthique manichéenne, le théâtre de Gisèle Vienne ausculte les affects humains les plus obscurs. Après L'Étang, adapté d’un aveu épistolaire de Robert Walser destiné à sa propre sœur, la metteure en scène à la patte marionnettique poursuit le cycle engagé autour des violences intrafamiliales....

Gisèle Vienne revient avec une nouvelle création, EXTRA LIFE, dans laquelle Clara et son frère Felix, qui ont fait la mauvaise rencontre de l’oncle Bernard lorsqu’ils étaient enfants, doivent, pour s’arracher à ce qui les écroule au-dedans, élaborer l’inceste : s’extraire des infigurations et défigurations, et se trouver un autre ancrage signifiant....

Dans "EXTRA LIFE", Gisèle Vienne prolonge un geste théâtral total, bouleversant la perception pour effleurer l'indicible....

Plongées dans l’atmosphère fascinante de Gisèle Vienne, Adèle Haenel et Julie Shanahan (interprète de Pina Bausch) forment un duo au sommet dans L’Étang, à découvrir au Théâtre Chaillot…...

Le Festival d’Automne consacre un opportun portrait en sept épisodes au travail multiple de l’artiste franco-autrichienne Gisèle Vienne. Le voyage s’ouvre avec « L’Etang », un texte intime de jeune......

L’Etang nous plonge dans les eaux troubles d’une tragédie familiale, aux confins de l’inceste, du mal-être adolescent, du fantasme et du mensonge. On se retrouve aux prises avec ce fils qui tente de capter la bienveillance maternelle en simulant un suicide....

Dans l’adaptation que réalise Gisèle Vienne, ce sont les mouvements qui sont minuscules dans leur lenteur. Comme une vie qui se déroule au ralenti, comme on revient sur un rêve (pour Fritz un cauchemar) dont chacune des postures est significative et révèle l’inconscient.