samedi 19 janvier 2013
Fahrenheit 451
Par Evelyne Trân
L’homme au chevet de lui-même , au chevet de sa préhistoire. Il n’y a pas d’écrivain qui fasse pencher sa plume pour tenter de tracer ses émotions, qui inconsciemment ne puisse se projeter à l’époque des cavernes quand ses ancêtres dessinaient sur leurs parois, à la lueur du feu. On pourrait presque dire que leurs fresques s’apparentent à des bandes dessinées et qu’elles leur tenaient lieu de livres à cœur ouvert.