2020
Aide à la traduction
Texte original : Kale bomen ruisen niet traduit par Esther Gouarné
Un matin, deux femmes se réveillent dans un camping. Elles se préparent, s’habillent et devisent de tout et de rien dans l’attente d’une visite importante – on ne connaîtra jamais exactement l’identité des visiteurs, si ce n’est qu’ils sont apparemment plusieurs et qu’il faudra absolument leur faire une bonne impression, « être présentables. » On peut voir là une sorte de pendant féminin et contemporain d’En attendant Godot. Plutôt que de vacancières, D et G ont plutôt l’air de s’être isolées, elles se sont mises à l’abri, loin du monde et des hommes…