Écrit en 2002 - français
Présentation
Affrontant le mystère de la mort, Mahmoud Darwich évoque le dépérissement des êtres et leur désir d’éternité. Un chant fluide et poignant qui rappelle les hymnes éternels de l’Orient ancien.
Le titre renvoie d’emblée aux grandes fresques antiques et médiévales, celles où l’artiste-artisan figure en général les deux dualités fondamentales : vie/mort et mort/résurrection. Murale, par référence à une autre tradition culturelle, est aussi une mu‘allaqa (la "suspendue"), ode qui exprimait avant l’islam la vision du monde des Arabes du désert, et qui était accrochée, en signe de vénération, au mur du temple de La Mecque.
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