"Je suis la bête" d'A. Sibran, m.e.s. de J. Delille, chronique
Partenaire :
Le Printemps des Comédiens
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« Nous c’est le silence qui raconte, les hommes il leur faut une voix » Ces mots de Méline, sont pour moi les fondements du message de Je suis la bête. Elle vient nous entraîner dans son histoire, nous proposant d’être traversés par cette dernière. Ce qui m’intéresse, c’est de travailler sur la rugosité, sur le monstre, comme il l’est étymologiquement : celui qui montre ou qui est montré. Méline est montrée, exposée sur la scène de théâtre mais elle montre aussi, elle nous montre ce que nous refusons peut être de voir : le schisme, l’abîme que nous humains...
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