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Place aujourd'hui à deux pièces engagées : la première est une adaptation du texte de Christine Angot sur l'inceste, "Le Voyage dans l'Est", tandis que la deuxième, "Carte noire nommée désir", porte sur le corps noir et les stéréotypes qui y sont accolés.
Directeur du Théâtre national de Strasbourg et metteur en scène de la pièce "Ce qu’il faut dire" de Léonora Miano, Stanislas Nordey est l'invité de Carine Bécard.
Du 21 au 29 juin, le Théâtre National de Strasbourg présente "Au bord", un texte de l'autrice associée au TNS Claudine Galea mis en scène par Stanislas Nordey. L'écrivaine revient au micro d'Arnaud Laporte sur ce texte qui accompagne son travail depuis plus de quinze ans.
Romancière, lauréate du Goncourt il y a un onze ans, récompensée l’année dernière par le prix Marguerite Yourcenar, elle est aussi dramaturge. Sa nouvelle pièce, "Berlin, mon garçon", mise en scène par Stanislas Nordey, sera jouée dès demain au Théâtre de l’Odéon. Marie NDiaye est l'invitée d'Augustin Trapenard.
Rencontre avec Stanislas Nordey et Catherine Marnas À l’heure où le rôle et l’avenir de l’Europe font l’objet de nombreuses controverses et où le spectacle vivant subit de plein fouet la crise sanitaire, un nouveau cycle de conférences donne la parole à des figures emblématiques de la scène contemporaine.
Suite au décès du metteur en scène et directeur de théâtre Jean-Pierre Vincent jeudi 5 novembre, nous lui rendons hommage avec Stanislas Nordey, metteur en scène et actuel directeur du Théâtre National de Strasbourg.
Le directeur du Théâtre National de Strasbourg propose une programmation artistique tout l'été à Strasbourg dans le cadre des "vacances apprenantes" souhaitées par le gouvernement. Il est l'invité de Chloé Cambreling à l'occasion de cette "Traversée de l'été" du 10 juillet au 12 septembre.
Metteur en scène de théâtre et d'opéra, acteur, Stanislas Nordey est à la tête du Théâtre National de Strasbourg et est depuis le début du confinement très actif artistiquement pour soutenir le milieu culturel en crise.
Le théâtre français propose-t-il un reflet juste de notre société ?
Au sommaire de cette Dispute spectacles vivants : “Qui a tué mon père” au TNS, “Les Elucubrations d'un homme frappé par la grâce” au Théâtre Antoine, et “L'Amour en toutes lettres. Questions sur la sexualité à l’Abbé Viollet" (1924-1943)” au Théâtre de Belleville. Enfin, un coup de coeur (Amour et Psyché).
La Madeleine de Stanislas Nordey est un mets iodé qui ne fait pas l'unanimité : l'huître. Le récit qu'il fait de sa première fois est digne d’une saynète comique.
Théâtre et littérature avec Stanislas Nordey, acteur et metteur en scène. Il dit sur scène "Qui a tué mon père ?" d’Edouard Louis au théâtre de la Colline à Paris, un texte de réconciliation et un manifeste politique. Stanislas Nordey est aussi directeur du Théâtre national de Strasbourg.
Stanislas Nordey fait entendre les mille nuances du texte bouleversant d’Edouard Louis. Le silence entre le père et le fils, les quelques moments d’amour, la violence des rapports familiaux, et les retrouvailles alors que le père n’est plus qu’un corps brisé par la société.
Metteur en scène, comédien, mais aussi directeur du Théâtre National de Strasbourg, c’est à La Colline qu’on le retrouvera dans deux semaines pour "Qui a tué mon père", le très beau texte d’Edouard Louis. Texte de confrontation, texte politique, texte d’amour. Stanislas Nordey est l'invité d'Augustin Trapenard.
Guidé par sa mère, qui lui donne ses premiers cours d’art dramatique, Stanislas Nordey a développé un goût pour un théâtre actuel, ouvert sur le monde, engagé, mais pas frontalement militant, un théâtre pour le public, pas contre lui.
Emmanuelle Béart, comédienne, à l’affiche de la pièce de théâtre Erich von Stroheim (Théâtre du Rond-Point, jusqu’au 21/05) mise en scène par Stanislas Nordey. Cette pièce questionne le travail, la société, les rapports entre amour, sexe et désir.
« Honneur à notre élue »/« Le Cas Sneijder »/« Erich von Stroheim »/« Je crois en un seul Dieu »/« Notre Faust, saison 2»/« Intra Muros »/« La Garçonnière »
Au programme de Ping Pong ce soir, confessions déviantes et théâtre transgressif, avec Marina de Van qui publie "Rose Minuit", aux éditions Allia, et Stanislas Nordey qui met en scène "Je suis Fassbinder" au Théâtre de la Colline.
Reprendre une pièce de Pasolini au même âge que celui qu'avait le maître italien lorsqu'il l'écrivit : coïncidence ? Pas sûr... En tout cas, le metteur en scène Stanislas Nordey, qui nous raconte sa mise en scène d'Affabulazione, ne peut s'empêcher de remarquer qu'il devient un père, un passeur pour la jeune génération, au même moment que Pasolini.
L’invité, ce soir, s’appelle Stanislas Nordey. Quand il ne fait pas l’acteur, exercice qu’il pratique avec un soin amoureux et une précision quasi maniaque, il met en scène des textes d’auteurs contemporains. Pasolini bientôt, Sandrine Roche il y a peu. De spectacle en spectacle, Nordey affute une façon de faire qui n’appartient qu’à lui. Il brasse, dans un même mouvement, la langue des poètes, le corps des acteurs, les afflux de la musique et la scène, clairement envisagée comme un espace plastique à qui il s’agit de donner son volume. Cet homme est carrément un alchimiste.