theatre-contemporain.net artcena.fr

Pas de photographie de cet auteur

Hala Omran

France

Dernières critiques

Image de Chroniques d'une ville qu'on croit connaître

Club de Mediapart

vendredi 05 avril 2019

Un amour de Nour ramène l’artiste exilé Wael Kadour dans son pays, la Syrie

Par Jean-Pierre Thibaudat

Exilé en France, l’auteur dramatique syrien Wael Kadour écrit « Chroniques d’une ville qu’on croit connaître », une histoire inspirée par une jeune femme qu’il connaissait et qui s’est suicidée à Damas en 2011. Un geste qu’il interroge avec la complicité d’un autre exilé, Mohamad Al Rashi. Une introspection intime de la violence dans la société syrienne....

Lire l'article sur Club de Mediapart

Image de May he rise and smell the fragrance

Inferno

lundi 16 juillet 2018

Un triptyque, et après ?

Par Emmanuel Serafini

Après Fatmeh et Leïla se meurt, c’était assez logique de présenter May He rise and smell the fragrance, le troisième volet du triptyque qu’Ali Chahrour souhaitait consacrer au deuil dans le monde arabe, singulièrement dans le monde Chiite, avec celui très particulier de l’Achoura.

Lire l'article sur Inferno

Image de May he rise and smell the fragrance

Club de Mediapart

lundi 16 juillet 2018

Avignon : deux façons de s’échapper de l’étouffant chaudron avignonnais

Par Jean-Pierre Thibaudat

La première façon d’échapper aux torpeurs avignonnaises (chaleur et prestations accablantes) est celle d’un spectacle qui vous emporte dans un abyssal ailleurs, c’est le cas avec Ali Chahrour. La seconde façon, c’est de sortir de la ville, tracer la route et se retrouver sous les lampions campagnards d’un modeste festival comme celui d’Alba-la-Romaine où le nouveau Trottola vous attend....

Lire l'article sur Club de Mediapart

Image de May he rise and smell the fragrance

Libération.fr

lundi 16 juillet 2018

La pleureuse chiite, cette rock star de la mort

Par Ève Beauvallet

Dans «May He Rise and Smell the Fragrance» d’Ali Chahrour, Hala Omran, telle une Beyoncé des larmes, puise la force de son chant dans la souffrance et le deuil....

Lire l'article sur Libération.fr

Image de May he rise and smell the fragrance

L'Insensé

lundi 16 juillet 2018

Danse avec la mort

Par Arnaud Maïsetti

Le chorégraphe libanais Ali Chahrour poursuit son exploration des rites funéraires chiites, et creuse ici le sillon d’un travail sur ce que peut le théâtre face aux morts, en regard des morts et des vivants. Rituel ? Plutôt convocation au présent de ce qui demeure nu face à l’énigme de la vie : quand est de ce côté de la mort, que faire si ce n'est relever la vie ?...

Lire l'article sur L'Insensé

Image de May he rise and smell the fragrance

Le Monde.fr

dimanche 15 juillet 2018

Ali Chahrour prend la mort à la gorge

Par Rosita Boisseau

Le chorégraphe libanais présente au Théâtre Benoît-XII le troisième volet de sa trilogie centrée sur les liturgies funéraires dans le monde arabe....

Lire l'article sur Le Monde.fr

Image de May he rise and smell the fragrance

Toutelaculture

dimanche 15 juillet 2018

"May He Rise And Smell The Fragrance" : Ali Chahrour rend le deuil assourdissant

Par Amelie Blaustein Niddam

Ali Chahrour est un chorégraphe libanais qui est obsédé par la mort. Elle traverse son beau et jeune travail. En 2017, Fatmeh interrogeait la place du corps féminin dans la société libanaise envahie par la guerre. Leila se meurt mettait en scène une pleureuse professionnelle. Avec May He Rise…, il sort de sa trilogie en injectant des hommes dans le rituel....

Lire l'article sur Toutelaculture

Image de May he rise and smell the fragrance

theatredublog.

vendredi 02 juin 2017

Dans le cadre de June Events

Par Mireille Davidovici

Dans le cadre de June Events Temps fort de la saison pour l’Atelier de Paris/Centre de Développement chorégraphique national, situé à la Cartoucherie de Vincennes, et consacré à l’accompagnement des artistes et de leurs créations, ce festival de danse  reflète ses missions de création et de transmission. En juin, cette onzième édition, avec les spectacles de vingt-cinq compagnie...

Lire l'article sur theatredublog.

Image de Les Petites chambres

Théâtre au Vent

lundi 31 août 2015

“La femme est l'avenir de l'homme” .

Par Evelyne Trân

Comment ne pas se souvenir de la voix chaleureuse de Jean FERRAT chantant Aragon, même les lèvres pincées, légèrement endeuillées par l'annonce “Le petit chat est mort” . Molière n'y est pour rien pourtant. Dans "les petites chambres” de Wael KADOUR, le destin de la jeune femme syrienne parait irrémédiablement gelé. Elle est garrottée par des lois tutélaires, notamment celle du frère, qui lui interdisent d'espérer un mariage d'amour. Curieusement l'homme

href="http://theatreauvent.blog.lemonde.fr/2015/08/31/les-petites-chambres-de-wael-kadour-lecture-le-mardi-25-aout-2015-a-la-mousson-dete-abbaye-des-premontres-9-rue-saint-martin/" target="__blank"> Lire l'article sur Théâtre au Vent

Loading…
Loading the web debug toolbar…
Attempt #