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Alors qu’elle clôt une trilogie avec "Kingdom", présenté au Festival d’Avignon avant une longue tournée toujours en cours, l’autrice, metteuse en scène et comédienne Anne-Cécile Vandalem fait le point, avec une lucidité rare, sur sa pratique et partage, au micro d'Arnaud Laporte, ses interrogations.
La metteuse en scène présente dans le cadre du festival AnthropoScènes une fable politique librement inspirée du film documentaire "Braguino" de Clément Cogitore.
Le thème de cette 75e édition du Festival d'Avignon "se souvenir de l’avenir" fait écho à la pièce "Kingdom" qui interroge la capacité à construire le futur à partir du passé.
Que valent "La Cerisaie" de Tchekhov, par Tiago Rodrigues, "Entre chien et loup" de Lars von Trier par Christiane Jatahy, "Hamlet à l’impératif" d'Olivier Py, "Liebestod" d'Angelica Liddell, "Fraternité, conte fantastique" de Caroline Guiela Nguyen et "Kingdom" d'Anne-Cécile Vandalem.
Avignon, acte IV. Dans la première partie, embarquons avec Anne-Cécile Vandalem sur un étrange paquebot vers un futur dystopique aux lourdes conséquences climatiques ; puis dans la deuxième partie, plongeons cette fois-ci avec le comédien Maxime Taffanel pour une histoire d'eau...
La metteuse en scène et actrice belge présente sa dernière pièce de théâtre "Tristesses" au Théâtre de l’Odéon jusqu’au 27 mai 2018. Elle en signe l’écriture, la conception artistique et scénographique.
A l'affiche de le Dispute consacrée au spectacle vivant ce soir : "Re-Paradise" par Gwenaël Morin d'après Paradise Now du Living Theater, de la magie nouvelle avec "Le paradoxe de Georges" de Yann Frisch et "Tristesses" d'Anne-Cécile Vandalem.
En première partie, table ronde "Des romans énormes" avec le metteur en scène Jean Bellorini, les Frères Karamazov et Julien Gosselin suivie du portrait d'Anne Cécile Vandalem.