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Ali Hout

Liban

Dernières critiques

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Inferno

lundi 16 juillet 2018

Un triptyque, et après ?

Par Emmanuel Serafini

Après Fatmeh et Leïla se meurt, c’était assez logique de présenter May He rise and smell the fragrance, le troisième volet du triptyque qu’Ali Chahrour souhaitait consacrer au deuil dans le monde arabe, singulièrement dans le monde Chiite, avec celui très particulier de l’Achoura.

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Club de Mediapart

lundi 16 juillet 2018

Avignon : deux façons de s’échapper de l’étouffant chaudron avignonnais

Par Jean-Pierre Thibaudat

La première façon d’échapper aux torpeurs avignonnaises (chaleur et prestations accablantes) est celle d’un spectacle qui vous emporte dans un abyssal ailleurs, c’est le cas avec Ali Chahrour. La seconde façon, c’est de sortir de la ville, tracer la route et se retrouver sous les lampions campagnards d’un modeste festival comme celui d’Alba-la-Romaine où le nouveau Trottola vous attend....

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Libération.fr

lundi 16 juillet 2018

La pleureuse chiite, cette rock star de la mort

Par Ève Beauvallet

Dans «May He Rise and Smell the Fragrance» d’Ali Chahrour, Hala Omran, telle une Beyoncé des larmes, puise la force de son chant dans la souffrance et le deuil....

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L'Insensé

lundi 16 juillet 2018

Danse avec la mort

Par Arnaud Maïsetti

Le chorégraphe libanais Ali Chahrour poursuit son exploration des rites funéraires chiites, et creuse ici le sillon d’un travail sur ce que peut le théâtre face aux morts, en regard des morts et des vivants. Rituel ? Plutôt convocation au présent de ce qui demeure nu face à l’énigme de la vie : quand est de ce côté de la mort, que faire si ce n'est relever la vie ?...

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Le Monde.fr

dimanche 15 juillet 2018

Ali Chahrour prend la mort à la gorge

Par Rosita Boisseau

Le chorégraphe libanais présente au Théâtre Benoît-XII le troisième volet de sa trilogie centrée sur les liturgies funéraires dans le monde arabe....

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Toutelaculture

dimanche 15 juillet 2018

"May He Rise And Smell The Fragrance" : Ali Chahrour rend le deuil assourdissant

Par Amelie Blaustein Niddam

Ali Chahrour est un chorégraphe libanais qui est obsédé par la mort. Elle traverse son beau et jeune travail. En 2017, Fatmeh interrogeait la place du corps féminin dans la société libanaise envahie par la guerre. Leila se meurt mettait en scène une pleureuse professionnelle. Avec May He Rise…, il sort de sa trilogie en injectant des hommes dans le rituel....

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theatredublog.

vendredi 02 juin 2017

Dans le cadre de June Events

Par Mireille Davidovici

Dans le cadre de June Events Temps fort de la saison pour l’Atelier de Paris/Centre de Développement chorégraphique national, situé à la Cartoucherie de Vincennes, et consacré à l’accompagnement des artistes et de leurs créations, ce festival de danse  reflète ses missions de création et de transmission. En juin, cette onzième édition, avec les spectacles de vingt-cinq compagnie...

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I/O Gazette

samedi 23 juillet 2016

L’islam éclairé

Par Youssef Ghali

La soirée aura commencé par un choc. Dans le cloître des Célestins, sous une chaleur moite, sont apparus trois hommes à la peau brune et aux cheveux noirs, suivis d’une femme voilée, qui ont entonné en chœur des mots qui résonnent aujourd’hui d’un écho amer : ceux de la Shahada, le tout premier pilier de l’islam, qui consiste à affirmer qu’« il n’y a de Dieu qu’Allah, et Mahomet est son Prophète »....

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I/O Gazette

samedi 23 juillet 2016

Haut-le-cœur

Par Marie Sorbier

La situation de base est universelle, un homme mort et une femme qui pleure. C’est à cette cérémonie atemporelle qu’Ali Chahrour nous convie sur scène mêlant habilement image, émotion et politique. Les pleureuses incarnent l’intimité entre les tout-juste-morts et les encore-vivants, un accompagnement professionnel – c’est un métier –, une façon d’être tout en emphase et traditions, citations des gestes d’icône et de pietà....

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